Voici un rituel intéressant qui aidera un ou une proche à retrouver sa voie, à retrouver la confiance en lui ou en elle. En tant que sataniste moderne nous devons avoir de l’empathie envers celles et ceux qui le mérite.

Rituel : Invocation à la compassion
Avec la colère de l’angoisse et la colère des étouffés, je verse en avant mes voix, enveloppées dans un roulement de tonnerre, afin que vous entendiez! Oh grands rôdeurs dans les ténèbres, oh gardiens du chemin, Oh sbires de la puissance de Thot! Bougez et apparaissez! Cadeau vous-mêmes à nous en votre pouvoir bienveillant, au nom de celui qui croit et est frappé de tourment.
Isolez-le dans le rempart de votre protection, car il est indigne d’angoisse et ne le désire pas.
Que ce qui s’oppose à lui soit rendu impuissant et dépourvu de substance. Aidez-le à travers le feu et l’eau, la terre et l’air, pour retrouver ce qu’il a perdu.
Renforcez par le feu la moelle de notre ami et compagnon, notre camarade du Chemin de gauche. Grâce à la puissance de Satan, la terre et ses plaisirs rentre dans son être.
Permettez à ses sels vitaux de s’écouler sans entrave, afin qu’il savoure le nectars charnels de ses désirs futurs.
Frappez son adversaire, formé ou informe, pour qu’il émerge joyeux et fort de ce qui l’afflige. Qu’aucun malheur n’allie son chemin, car il est de nous, et donc à chérir.
Restaurez-le au pouvoir, à la joie, à la domination sans fin sur le revers qui l’ont assailli.
Construisez autour et en lui le rayonnement exultant qui annoncent sa sortie du bourbier stagnant qui l’engloutit.
C’est ce que nous commandons, au nom de Satan, dont les miséricordes fleurissent et dont la nourriture prévaudra!
Comme Satan règne, il en sera de même pour le sien dont le nom est comme ce son: (nom) est le récipient dont la chair est comme la terre; la vie éternel, monde sans fin!
Shemhamforash! Gloire à Satan!
AVE LUCIFER
Tu écris tellement bien ???
Très très magnifique la maître l’on vie à toi
J’aime vous rejoindre jusqu’à la fin de ma vie
J’ai voulais entre votre membre jusqu’à la fin de ma vie